Si je te serre fort, très fort, je m’imprègne fort de ta peau. Et peut-être que tu ne partiras pas vraiment.
J’ai un cœur particulier
Ton aide serait précieuse
Je n’osais pas l’avouer
Cette folie est délicieuse
Elle envahit mon âme
 Et je te vois de glace
Si seulement j’étais cette femme
Dont jamais tu ne te lasses
Tu me dis que je délire
Que je ne garde que c’qu’il me plait
Mais où est passé ton sourire
Qui me faisait chavirer ? 
Si doux si profond si harmonieux
Le temps file et c’est de la torture
Notre amour faisait tant d’envieux
Tu te refuses au bonheur 
T’as pas envie d’avancer 
C’est pas comme de la peur,
Ta peur tu la connais
Mais y a comme un vide 
Réel supplice
J’ai la face livide
Et je crie à l’injustice 
Quand tu vois tout le monde évoluer
Quand tu ris plus comme avant
T’étais pourtant plus doué 
Mais tu t’es laissé glisser dans le vent
Pensant que ce vent, c’était lui ta liberté
Décembre est arrivé
Et tes baisers se sont envolés.
C’est un premier hiver sans toi
Je le réalise désormais que ma liberté est là
J’ai du mal à la contrôler.
Je chavire dans ces amours de passage
Ils s’enfuient à la vitesse d’un mirage
Peut-être est-ce moi qui les fais partir ?
Peut-être qu’il est toujours présent
Le souvenir de ton sourire.

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